Zapata chez les vikings

Ami(s) lecteur(s), - et oui d'une nature pessimiste et à l'aune des commentaires laissés pour le moment, je désepsère d'avoir plus d'un lecteur, et encore celui-ci est en réanimation médiatique -, je décide de légèrement infléchir la route de mon blog et de lui donner un tout plus intime, en plus de mes chères lecture, je vais donc y ajouter qq péripéties, élements du quotidien dont l'amusante futilité, la superfétatoire ironie, bref le sel de la vie, auront justifié de rester pour qq parsecs dans l'histoire électro-virtuelle des méandres arachnéides (du web quoi).
Je profite de ces disgressions formelles pour rappeler à mon ami d'outre-tombe médiatique qu'il est maitenant auteur à part entière de ce blog ; donc dès qu'il le voudra, ce mono(b)logue pourra devenir dia(b)logue.

Et premier élement de cet infléchissement mon séjour chez les vikings, je veux parler de ces 4 jours à Copenhague qui vont probablement marquer une étape de ma vie. Donc je reviens d'un entretien dans une célèbre université danoise où un big boss a été assez fou pour m'inviter. A croire qu'il a bien aimé ma gueule d'amour car je me retrouve embarqué sur une galère (ou serait-ce un drakkar) de 4 ans avec lui au Danemark.

Adieu la France, adieu les plages de la méditerranée, bonjour à la petite sirene (vraiement tres petite), les éoliennes et les pistes cyclables, et bonjour les danoises (j'ai rien contre les danois mais bon on a le droit d'avoir des préférences ). Je pars en avril, d'ici là je dois regler tout ce qui reste en suspens, dispatcher mon mobilier plethorique, acheter une fourrure polaire (Decathlon évidemment) et un parapluie de competition, sponsorisé par les cabans Zara.

La vous allez croire que ma nouvelle vie m'a tourné la tête et que je suis tombé en adoration devant ces effigies du grand Kapital. Rassurez vous, là n'est pas la question, il s'agit de private jokes que les intéressés reconnaîtront. Aux autres de deviner...

Maintenant, j'aimerai avoir une petite pensée pour ces moments de la vie, où mine de rien, on prend des grands virages qui vont déterminer fortement les années à venir. Qu'ont-ils de différents, ces jours-là ? Lorsqu'on résume sa vie passée, ce sont les premiers qu'on retient, comme si les autres n'avaient pas compté, avaient été les étapes de transition d'un tour de France au nombre de cols non fixé le jour du départ (première fois que je m'aventure dans la métaphore cycliste, ce dot être l'influence danoise). Voilà, c'était le paragraphe "spécial dédicace".

J'arrête pour auourd'hui, dorénavant je vais essayer d'être plus assidu et je conterai dans le détail les péripties d'un frenchy au Danemark.

Comments

[MediaVictim]

« Non au cpe » jusqu’à Copenhague
Environ deux cents étudiants et syndicalistes ont manifesté mardi après-midi devant l’ambassade de France à Copenhague en signe de solidarité avec les jeunes en France opposés au contrat première embauche (CPE), a constaté l’AFP. Reprenant en français le slogan des étudiants de France, ils ont scandé en sautillant « non, non au CPE », le poing levé tourné vers la représentation diplomatique française gardée par d’importantes forces de l’ordre. « Nous sommes là pour dire non à la précarité qui peut nous toucher aussi, et pour montrer que nous sommes solidaires de nos copains en France qui mènent un combat juste contre l’exploitation », a déclaré Lars Grenaa, un étudiant danois de vingt-six ans.