Les poivrots qui picolent sur les bancs publiques....

Et oui si Brassens était danois (je sais c'est une drôle d'idée, mais bon ce n'est qu'une intro), sa chanson aurait été bien différente... car si on peut aller jusqu'à dire que pour un danois tout endroit est bon pour picoler, on peut quand même noter une claire préférence pour les bancs publiques, à tel point qu'on n'imagine pas que quelqu'un vienne s'y assoir pour une autre raison que vider quelques Tüborg. Donc les amoureux, on dégage... d'ailleurs ils ont l'air de se satisfaire des trottoirs, chacun son truc !

Faut dire qu'avec leurs horaires de fermeture, on est plus qu'invité à improviser des lieux de beuverie : hier soir, le programme était d'arroser le départ d'amis italiens... le premier bar nous a mis dehors à 22h00, le deuxième à 23h00, heureusement le troisième était plus accueillant et nous a gardé jusqu'à 1 heure du mat.

En conséquence la jounée a été un peu dure... et en plus d'avoir mal aux cheveux, j'ai des courbatures d'avoir écumé les rues de København à la recherche d'un rade accueillant.

Sinon j'ai fait la connaissance hier du copain de Loïs Lane (c'est à dire ma colocataire pour ceux qui auraient raté certains aspects). J'ai évité la gaffe de demander si c'était son père, et après enquête, il est canadien et artiste peintre. Bon il a l'air très gentil... après comme je l'ai déjà dit, chacun son truc.